Référent sécurité : M. CARMICHAEL Benoit (2ème Adjoint) qui est en lien avec notre référent:
Depuis le mois de septembre 2024, une nouvelle brigade a vu le jour dans la Drôme sur la commune de LES TOURRETTES. Cette nouvelle unité est ouverte au public depuis le 1er janvier 2025 et fonctionne en mutualisation avec les brigades de MARSANNE et de PUY-SAINT-MARTIN. Les communes suivantes leur sont directement rattachées :
CONDILLAC, LA COUCOURDE, LES TOURRETTES, ST MARCEL LES SAUZET, SAUZET, SAVASSE, BONLIEUR SUR ROUBION, CLÉON D'ANDRAN, LA LAUPIE, MARSANNE, ST GERVAIS SUR ROUBION, CHAROLS, MANAS, PONT DE BARRET, PUY SAINT MARTIN, ROCHEBAUDIN, ROYNAC, SOYANS
Les usagers de ces communes peuvent donc être accueillis quotidiennement selon la répartition suivante :
aux TOURETTES (2bis rue des écoles) : les lundi, mercredi et vendredi, en journée (08h/12h puis 14h/18h), le dimanche, en journée (09h/12h puis 15h/18h)
à MARSANNE (215 rue Jeanne d’Arc) : les mardi et samedi, en journée (08h/12h puis 14h/18h)
EN CAS D’URGENCE, appelez le 17 ou le 112. En cas de difficulté à parler ou entendre, envoyez un SMS au 114.
Tranquillité vacances :
Pendant toute absence prolongée de votre domicile, vous pouvez demander à la police ou à la gendarmerie de le surveiller. Des patrouilles sont alors organisées pour passer vers votre domicile. Vous serez prévenu en cas d'anomalie (effractions: Usage de la force pour pénétrer dans un endroit fermé, tentatives d'effractions, cambriolages).
Pour bénéficier de ce service, vous devez vous rendre au commissariat de police ou à la brigade de gendarmerie de votre domicile au moins 2 jours avant votre départ.
Ci-joint le formulaire à compléter:
Liste de pièces jointes
Campagne de messages d'escroquerie usurpant l'identité de la police et de la gendarmerie
Mesdames et messieurs,
Vous avez reçu un message (mail) d’une personne prétendant appartenir à la Brigade de Protection des Mineurs (BPM) ? Ce message indique que vous vous êtes rendu coupable de plusieurs graves infractions à la loi (pédopornographie, pédophilie…) et vous informe que, sans réponse de votre part, votre dossier sera transmis aux autorités pour de possibles poursuites judiciaires ? Il mentionne également que l’affaire sera rendue publique en cas de non-réponse ? Pas de panique ! Il s’agit d’une tentative d’escroquerie qui vise à vous effrayer pour vous dérober de l’argent !
Depuis l’été 2020, Cybermalveillance.gouv.fr a identifié de nombreuses campagnes de messages d’escroquerie, toujours en cours, qui usurpent l’identité de la Police Nationale et, plus récemment, de la Gendarmerie Nationale.
Voici deux exemples de ce type de message ci-dessous :
La prévention de ces escroqueries
Quelques conseils :
Il s’agit d’une simple arnaque qui vise à escroquer des victimes crédules en leur faisant peur avec de fausses accusations. Dans le cadre de ces campagnes de messages malveillants, l’objectif des escrocs est de dérober de l’argent en utilisant différents ressorts.
Ne paniquez pas ! En effet, vous n’avez sans doute rien de réellement compromettant à vous reprocher. Par ailleurs, la consultation de sites pornographiques, dans le respect de la loi, n’est pas répréhensible.
Ne répondez pas ! Car cela montrerait aux cybercriminels que votre adresse de messagerie est « valide » et que vous portez de l’intérêt au message d’escroquerie qu’ils vous ont envoyé.
Conservez les preuves ! Le message reçu pourra vous servir pour signaler cette tentative d’escroquerie aux autorités.
Signalez les faits à la plateforme de signalements PHAROS du ministère de l’Intérieur : Internet-signalement.gouv.fr.
Et si vous avez donné suite à l'arnaque et avez payé?
Rassemblez les preuves ! Conservez le message reçu, les échanges avec l’escroc ainsi que toute autre information que vous avez pu collecter et qui pourra vous servir pour déposer plainte auprès des autorités.
Déposez plainte au commissariat de police ou à la brigade de gendarmerie ou encore par écrit au procureur de la République du tribunal judiciaire dont vous dépendez en fournissant toutes les preuves en votre possession.
Contactez votre banque pour essayer de vous faire rembourser.
Pour en savoir davantage:
https://www.cybermalveillance.gouv.fr/tous-nos-contenus/actualites/campagnes-messages-escroquerie-usurpant-identite-police-nationale